constantes arbitraires que l’intégration de l’équation introduit.
Si l’on a la formule générale (B) donnera, en y supposant encore
étant les constantes arbitraires qu’introduit l’intégration de l’équation On aurait de la même manière la valeur de dans le cas de et l’on voit ainsi l’analogie qui existe entre l’interpolation des suites et l’intégration des équations linéaires aux différences finies.
VI.
Soit et supposons que soit la fonction génératrice de et celle de on aura
Soit encore ou si l’on désigne par le coefficient de dans le développement de on aura, par l’article II,
présentement, on a
Or le coefficient de dans le développement du second membre de cette équation, est égal à celui de dans le développement de et par l’article précédent, ce dernier