Si l’on substitue dans ces équations, au lieu de leurs valeurs
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et au lieu de ces dernières quantités leurs valeurs données dans le no 67 ; si l’on observe, de plus, que on aur
Ces deux équations différentielles détermineront directement l’inclinaison de l’orbite et le mouvement des nœuds. Elles donnent
équation qui peut se déduire encore de celle-ci, en effet, cette dernière équation étant finie, on peut, par le no 63, la différentier, soit en regardant et comme constants, soit en les traitant comme variables, en sorte que sa différentielle prise en ne faisant varier que et est nulle, d’où résulte l’équation différentielle précédente.
Supposons maintenant que le plan fixe soit extrêmement peu incliné à l’orbite de en sorte que nous puissions négliger les carrés de et de ; on aura
en faisant donc, comme précédemment,