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dans l’ellipse variable, puisqu’elle est différentielle du premier ordre. En la différentiant, on aura or on a

partant

et, en intégrant,

Enfin, on a vu, dans le no 18, que les intégrales (p) n’équivalent qu’à cinq intégrales distinctes, et qu’elles donnent entre les sept paramètres et les deux équations de condition

ces équations ont donc encore lieu dans le cas de l’ellipse variable, pourvu que les paramètres soient déterminés par ce qui précède. On peut d’ailleurs s’en assurer facilement a posteriori.

Nous venons de déterminer cinq éléments de l’orbite troublée, savoir, son inclinaison, la position de ses nœuds, son demi-grand axe qui donne son moyen mouvement, son excentricité, et la position du périhélie. Il nous reste à déterminer le sixième élément du mouvement elliptique, celui qui, dans l’ellipse non troublée, répond à la position de à u«e époque donnée. Pour cela, reprenons l’expression de du no 16,

Cette équation, développée en série, nous a donné, dans le numéro cité,