bite, et que l’on ait déterminé par la méthode précédente la parabole qui satisfait à peu près à ces observations. Soient les anomalies correspondantes ; les rayons vecteurs correspondants. Soit encore
Cela posé, on calculera par la méthode précédente, avec la parabole déjà trouvée, les valeurs de Soit
On fera ensuite varier d’une très-petite quantité la distance périhélie dans cette parabole ; soit, dans cette hypothèse,
On formera une troisième hypothèse, dans laquelle, en conservant la même distance périhélie que dans la première, on fera varier d’une très-petite quantité l’instant du passage par le périhélie ; soit alors
Enfin, on calculera, avec la distance périhélie et l’instant du passage de la comète au périhélie de la première hypothèse, l’angle et le rayon vecteur , en supposant l’orbe elliptique, et la différence de son excentricité d’avec l’unité égale à une très-petite quantité, par exemple à Pour avoir la valeur de l’angle dans cette hypothèse, il suffira, par le no 23, d’ajouter à l’anomalie calculée dans la parabole de la première hypothèse, un petit angle dont le sinus est
En substituant ensuite dans l’équation
au lieu de cette anomalie ainsi calculée dans l’ellipse, on aura le rayon vecteur correspondant. On calculera de la même manière