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céphalique, bientôt suivie, à l’altitude de 3.200 mètres, d’une vaso-dilatation marquée et durable.

Ce phénomène, qui ne paraît, après diverses expériences consécutives, imputable à aucune autre condition qu’à l’ascension elle-même, correspond avec les sensations subjectives de légère congestion cérébrale observées par les aéronautes.