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années, j’ai étudié le travail de la vie chez les autres, la curiosité m’est venue de l’étudier en moi. N’est-ce pas bien imprudent ? Dieu sait quelles cellules ma pensée peut rouvrir ! Saura-t-elle éviter cette zone qui contient tant de choses sacrées et douloureuses ? J’y veillerai ! Il y a des morts qui ne sont jamais assez morts.