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mâmes nos regrets de ce qu’elle ne pouvait être des nôtres. Édith l’invita à Loftshall pour le mois d’octobre.

Comme la voiture se mettait à rouler vers l’hôtel Claridge, je me retournai. La large rue était blanche de chaleur et de poussière, toute dorée par les rayons du soleil couchant. Sur le seuil de sa porte, entre deux fenêtre fleuries, je vis la figure bien anglaise de madame Nerwind, de la femme qui m’a aidée avec tant de bonne grâce. Je lui envoyai un dernier salut d’amitié. C’est ainsi, j’en suis sûre, qu’elle restera dans mon souvenir.