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j La0—tseu eut un fils nommé Tsong ; Tsongfut général dans le ai · royaume de f/Veï, et obtint un fief à Touanlcun. Le fils de Tsong s’appelait Tchou ; lefils de Tchou se nommait Kong ; le petit-fils de il Kong s’appelait Hia. Hiu remplit une charge sous l’empereur il Hz’u0-wen- ti des Hun 1. Kiai’, fils de Hiu, devint ministre de ml Khiang, roi de Kiao-si, et, à cause de cette circonstance, il’s’établit avec sa famille dans le royaume de Thsz’. ’
je Ceux qui étudient la doctrine de Lao-tseu la mettent au-dessus lle de celle des lettrés ; de leur côté, les lettrés préfèrent Confuciu-s àlm, La0—tseu. Les principes des deux écoles étant différents, il est im# ’ ml possible qu’elles puissent s’accorder entre elles. Suivant-Lao-tseu, si · lt le roi pratique le nonugir, le peuple se convertit ; s’il reste dans ’l une quiétude absolue, le peuple se rectiüe de ltll-Illêlllê. ft Le morceau que nous venons de donner est tiré des Mémoires “b de Sse-ma-thsien 2, qui était le chef des historiens de l’empire, dans Y la première année de la période Thuilisou, sous’Wou-ti, de la dyla nastie des Han (l’an ioh axant J. C.), Cette biographie, qui fait partie des annales officielles de la Chine, est la seule qui soit regardée comme authentique. Les autres vies de Lao-tseu, qui ne tf s’appuient point de l’autorité de Sse-ma-lhsieu, ne sont qu’un tissu la de fictions que rejettent tous les hommes judicieux. ·« Han-wou-ii, rs, « dit l’édition impériale 3 du Ssc-hi (liv. LXIII, Examen des preuves historiques), s’était laissé aveugler par des charlatans adonnés au culte des esprits, et révérait avec eux Laotseu comme un dieu. Lors ll] « que Sse-mœthsien composa la biographie de Lu0—i-seu, il fit connaître le pays natal, le village, les fils et les petits-Hls de ce philosophe, L •· pour montrer que ce n’était qu’un homme comme les autres ; il I. « ne le fait point voyager dans les nuages sur un dragon ailé, il ne le fl
I. 1 Il monta sur le trône l’an 1 79 avant J. C. 2 Sse-ki, liv. LXIH.
É 3 Cette édition existe à la Bibliothèque royale de Paris dans le Recueil des vingt—quatre historiens officiels de la Chine, en sept cent vingt cahiers petit in-fol. C’est le Sêlll CXEITIPIHJFG COITIPICÈ qUlOI’l BI] COHD3lSS€ Cl] Europe.
