saint homme (cf. ch. II) ; C, H croient qu’il faut les rapporter au ciel et à la terre. Pi-ching développe ainsi la pensée de B : Le saint homme produit les êtres comme s’il était leur père et leur mère ; il les nourrit comme s’ils étaient ses fils et ses neveux, etc. Tout cela n’est possible qu’à l’homme qui s’est identifié avec la Vertu profonde, c’est-à-dire, avec le Tao, ou qui possède une vertu profonde comme celle du Tao.
E : On commentateur pense que ces six membres de phrase se rapportent uniquement à celui qui gouverne le royaume.
(9) A : Il n’attend d’eux aucune récompense.
(10) B explique le mot tch’ang 長 par « être placé au dessus des peuples. » D’autres interprètes (A, C) le rendent par yang ; 養 « nourrir. »
(11) Li-si-tchaï : Wou-tsea-i-weï-tchou 無自以為主, « Il ne se regarde pas comme leur maître. »