Page:Lao-Tseu - Le livre de la voie et de la vertu - traduction Stanislas Julien, 1842.djvu/315

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

l’homme à ses propres yeux , il se montre humble et modeste, et alors tous les hommes aiment à lui obéir et à être employés par lui.


(6) E : Ceci répond au passage précédent : « Celui qui excelle à vaincre l’ennemi. »


(7) E : Ceci répond au passage précédent : « Celui qui excelle à employer les hommes. »

Ibidem : L’homme dont la vertu consiste à ne point lutter ne fait pas usage d’armes ni de chars de guerre, et l’empire se soumet à lui.

Celui qui sait employer les forces des hommes ne se fatigue pas à montrer des lumières et de la pénétration, et tout l’empire est bien gouverné.


(8) E : Par sa vertu, le Saint s’unit au ciel. C’était là la voie sublime de la haute antiquité.