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étoit décidée par le degré de convexité de la lentille, les deſſins n’ayant pas plus de ſept pouces de hauteur. Ils étoient ſur un papier très-mince, que, la peinture achevée, on avoit trouvé moyen de rendre auſſi tranſparent que le verre. Diſperſés à diſtance égale ſur une bande de papier fort, de longueur et largeur convenables, ils étoient roulés ſur un cylindre vertical. Un cylindre pareil recevoit à droite ce qui ſe dérouloit ; de l’autre côté, les changemens s’opéroient par un mouvement précis et auſſi prompt que l’éclair.

Mon ami avoit conſervé des croquis terminés de tous les tableaux ; il a bien voulu m’en faire le ſacrifice. Les voici.