Page:Lanne - Une officine royale de falsifications, 1903.djvu/29

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

graver ce précieux billet. J’assistai à la messe que le Roi fit célébrer par M. l’abbé de Firmont, le jour du martyre de son frère. Les larmes que j’y ai vu répandre ne sont point étrangères à mon sujet.

(Note de Cléry.)

Sous le renvoi (2), au mot anneau, se trouve cette autre note :


Cet anneau est entre les mains de Monsieur ; il lui fut envoyé par la Reine et Madame Élisabeth avec des cheveux du Roi. Un billet l’accompagnait (*).

(Note de Cléry.)

Enfin, l’astérisque (*) renvoie à une troisième note :


Le cachet, les billets, l’anneau précieux dont il est question dans ces notes, étaient parvenus entre les mains des Princes par le dévouement de M. de Jarjayes. Les mémoires de son ami, M. de Goguelat, contiennent la relation des services que ce sujet fidèle eut alors le bonheur de rendre à la famille royale. On trouvera dans la livraison le fac-simile[sic] des billets dont parle Cléry.

(Note des nouveaux éditeurs.)[1]
  1. Il est nécessaire de mentionner ici que cette dernière note ne se trouve pas dans une édition des Mémoires de Cléry publiée par la Société catholique des bons livres, Paris, hôtel Palatin, près Saint-Sulpice, 1825, imprimerie de