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avec raison, ils n’estiment jamais parfaites. Mais tout cela ne nous empêche pas de maintenir notre hypothèse. Qu’il soit entendu seulement que, en pratique, on n’attend pas, pour travailler sur les documents, d’être imperturbablement maître de toutes les « connaissances auxiliaires » : on n’oserait jamais commencer.

Reste à savoir comment il faut traiter les documents, supposé que l’on ait subi préalablement, avec succès, l’apprentissage convenable.