rions pas à faire figurer ici, à la suite des répertoires bibliographiques proprement dits d’histoire universelle, les traités et les dictionnaires d’bistoin ! univcrselhî qui contiendraient, en même temps rpie les derniers résultats de la science, des renseignements bibliographifjues choisis et dignes de confiance, s’il y en avait. Mais il n’y en a pas. — La dernière édition du Dictionnaire universel dlmtoire et de (féo(p’aphie de ÏN. Bouillet (Paris, 1895, in-8) serait, en même temps (pTun répertoire de faits commode, un guide bibliographique utile, si les renseignements bibliographiques qui sont joints à chaque article étaient, non pas comi)lets (car c’est impossible), mais sûrs : ils ne le sont pas. — Les notices bibliographiques qui sont jointes, en appendice, aux divers chapitres des grandes histoires universelles, lelles que VAllgemeine WelUjeschichte de G. Weber (Leipzig, 1882-89, 15 vol. in-8), sont quelquefois consultées par les commençants. — Il n’y a aucun compte à tenir des opuscules qui, sous les titres alléchants de Outlines of tiniversal liistory, Institntes of gênerai histonj, etc., se publient en Amérique ; les « notes bildiograjibiques » qui les rendent, au dire des prospectus, « particulièrement préc’eux », ont un caractère tout à fait élémentaire, et il est rare qu’elles soient originales ^
166. — L’antiquité, le moyen âge, les temps modernes, en ces trois grandes périodes se divise l’histoire universelle. On n’a jamais essayé, à notre connaissance, de faire des répertoires bibliographiques particuliers pour l’histoire des temps modernes ; ce domaine a paru probal)lement trop vaste et sans unité : c’est aux répertoires d’his-
. C’est la coutume des professeurs d’Université qui enseignent l’histoire générale, en certains pays, principalement aux États-Unis, de publier les bibliographies sommaires qu’ils distribuent aux auditeurs de leurs leçons.
