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te disant : « C’est lui, le vilain, qui m’a arrangée comme cela. »

Oui encore, ma beauté, j’espère bien te faire mourir aussi, mais, vois-tu comme je suis cruel : je veux que tu meures souvent, longuement, que tes lèvres ne puissent plus râler que de vagues supplications pour que je hâte ton supplice ou qu’au contraire je le retarde. Ô ! ma chère martyre qui, amoureuse de son tourment, viendra à nouveau dans les bras de son tourmenteur. Ô ! méchant, méchant Jacques, qui a cassé toute sa petite !

Ma fleur, mon front « plein de pensées » est barré de deux rides profondes, mon menton est pur lorsque je ne le presse pas dans mon poing, mes cheveux commencent à grisonner, et mes yeux Sont trop souvent cerclés de brun, du