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original en Calabre. Ensuite elle fut traduite en latin, sans qu’on en eût fait pourtant une version entièrement littérale.[1]




L’Épigraphie vient à l’appui des ouvrages historiques. Tout ce qu’on découvre dans les fouilles des Catacombes, en fait d’inscriptions, n’est que la confirmation de ce que nous avançons. Les dernières découvertes de J. B. Rossi, consignées dans ses ouvrages Roma Soterranea et Inscriptiones christianæ urbis Romæ, vient de mettre le dernier sceau de l’évidence à nos dires. Je ne ferai que citer ici le résumé qu’en donne M. Gaston Boissier, n’ayant pu consulter moi-même ces ouvrages.[2]

  1. Constitutiones apostolorum. Venetiis MDI. L’auteur quoique Vénitien, a écrit en grec. Πρωτον μεν παρα τινος των φιλοχριστων ελληνιστι συνεγραφη, επειτα δε ρωμαιστι μεθερμηνευθη ει και μη παντη παντως κατα λεξιν, ην παντες οι Δυτικοι τανυν τελουμεν.
  2. Voir le Cimetière de Calliste, article inséré dans la Revue des Deux mondes du 1er  mars 1869, p. 47. — V. encore l’ouvrage de M. Renan, Saint-Paul ; p. 93 aux notes.