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II


Nous allons passer maintenant dans un ordre parallèle de considérations.

À côté de l’incongruité d’une Rome destinée par la Providence à conquérir le monde par mille moyens criminels pour préparer la voie au règne de cet Agneau divin qui a porté sur

    d’orgueil qui serait fort déplacé eu égard à ce que nous sommes aujourd’hui et à ce que nous aurions dû être. Heureux si nous pouvions suivre de près les nations avancées nos contemporaines. Cependant, si déchu que l’on soit, le dernier degré d’abaissement serait celui de ne pas se soucier de la gloire de ceux qu’on représente. Que ce soit par descendance naturelle ou par adoption ou par le résultat de leur combinaison, le devoir est toujours le même.