Page:Lamontagne-Beauregard - La moisson nouvelle, 1926.djvu/175

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
173
LA MOISSON NOUVELLE


LA PAUVRE MAISON GRISE




C’est une pauvre maison grise
Au seuil difforme, au sombre toit,
Si petite hélas ! sous la brise
Qu’avec peine en route on la voit.

Près d’une colline lointaine
Où le blé croît avec orgueil,
L’herbe recouvre sa fontaine,
La mousse dévore son seuil.