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LE MANDARIN.

mais, comme vous, je crois que le monde marche, et je défie qu’on m’enrôle parmi les larmoyeurs. Malgré les moqueries de Davenel sur les grands mots, malgré vos négations, Didier, je sais que nous nous entendons tous et que nous nous dirigeons vers le même but.

De plus, j’affirme avec vous, s’il le faut, que certaines questions, qui ne doivent être qu’individuelles, ont été revêtues d’un trop grand caractère de généralité ; qu’elles entravent l’évolution des choses, et qu’elles seront pendant longtemps encore ou niées ou éliminées.