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IV
MONSIEUR LE CURÉ.
La Rose a été bien malade. Un chacun dit que c’est le départ de Pierre qui lui a donné cette maladie-là. Toinon, une mauvaise langue à faire battre ensemble des montagnes, raconte à ceux qui veulent l’entendre qu’il y a dans ce chagrin-là quelque chose de plus, assuré, qu’un simple chagrin. Tout de même, la Rose a bien pâti.
Je ne veux point me faire ce qu’on appelle l’écho des méchancetés débitées en catimini sur le compte de la fille à Norine, ce dernier soir, à la veillée.