Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 5.djvu/500

Cette page n’a pas encore été corrigée

 
Sous le vent frais qui déroulait sa voile
Il est parti vers ces bords éclatants,
Terre promise où brille son étoile,
Et que son âme espéra si longtemps.
Brise des mers, sois douce et parfumée !
Flots, calmez-vous ; ciel, sois toujours serein !
Reverdissez, cèdres de l’Idumée ;
Dieu soit en aide au pieux pèlerin !