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LE RETOUR

 
Vallon, rempli de mes accords ;
Ruisseau, dont mes pleurs troublaient l’onde ;
Prés, colline, forêt profonde ;
Oiseaux, qui chantiez sur ces bords ;

Zéphyr, qu’embaumait son haleine ;
Sentiers, où sa main tant de fois
M’entraînait à l’ombre des bois,
Où l’habitude me ramène :