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deuxième époque.

Le doux bruissement du lierre sur le mur,
Ou les coups sourds du lac, dont les lames d’azur,
Montant presque au niveau de ma verte fenêtre,
Renaissent pour tomber et tombent pour renaître,
Et suspendent, du bord qu’elles viennent lécher,
Leurs guirlandes d’écume aux parois du rocher.