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L’auteur, en voulant porter aux pieds du roi ce faible tribut de ses sentiments pour un prince dont le règne est l’aurore du bonheur de la France, n’a pas cru devoir s’astreindre scrupuleusement aux formes modernes du sacre, formes que l’état présent de notre monarchie modifiera peut-être encore. Il en a emprunté les principaux traits aux cérémonies guerrières qui, dans les temps chevaleresques, accompagnaient cette auguste consécration.


(1824)