Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 3.djvu/102

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pierre détachée de ces monuments au pied desquels il avait grandi, un lierre ou un laurier sauvage du pont du Gard ou des Arènes.

Depuis, j’ai revu Reboul à l’assemblée constituante. Âme libre, et née pour une république ; cœur simple et pur, comme il en faudrait tant au peuple pour lui faire conserver et honorer la liberté qu’il a conquise, et qu’il perdra s’il ne sait ni la modérer par la justice, ni la sanctifier par la vertu.