Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 1.djvu/365

Cette page a été validée par deux contributeurs.

SEPTIÈME
MÉDITATION



BONAPARTE


Sur un écueil battu par la vague plaintive,
Le nautonier, de loin, voit blanchir sur la rive
Un tombeau près du bord par les flots déposé ;
Le temps n’a pas encor bruni l’étroite pierre,
Et sous le vert tissu de la ronce et du lierre
On distingue… un sceptre brisé.