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Cependant leurs organes respiratoires sont encore analogues à ceux des mollusques, des cirrhipèdes, des annelides et des crustacés ; et comme tous les animaux des classes précédentes, ils sont encore privés de voix, et n’ont pas de paupières sur les yeux.

La forme de leur corps est appropriée à la nécessité où ils se trouvent de nager ; mais ils conservent la forme symétrique de parties paires, commencée dans les insectes ; enfin, chez eux, ainsi que dans les animaux des trois classes suivantes, le mode des articulations n’est qu’intérieur, et n’a lieu que dans les parties de leur squelette.

Nota. pour la composition des tableaux des animaux à vertèbres, j’ai fait usage de l’ouvrage de M. DUMÉRIL, intitulé Zoologie Analitique, et je ne me suis permis que quelques changemens dans la disposition des objets.