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quantité, en même état, et n’y conservent pas la même intensité d’action.

L’on sent donc que les fluides subtils, incoërcibles et pénétrans, dont il vient d’être question, constituent nécessairement une source féconde en phénomènes divers et qu’eux seuls peuvent offrir cette cause singulière, excitatrice des mouvements vitaux dans les corps où ces mouvemens sont possibles.

Nous étant formé une idée claire des caractères essentiels des corps inorganiques, soit solides, soit fluides, passons maintenant à l’examen de ceux qui sont le propre des corps vivans.