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arbitrairement. Je suis, au contraire, très-persuadé que les rapports dont il s’agit, ne peuvent être convenablement déterminés que d’après la considération de l’ensemble de l’organisation intérieure, et, auxiliairement, par celle de certains organes intérieurs particuliers, que des principes non arbitraires auront montrés comme plus importans et comme méritant une préférence sur les autres, dans les rapports qu’ils pourront offrir.

Il faut donc nous efforcer de déterminer les principes dont il s’agit, et ensuite nous y assujétir, si nous voulons anéantir cet arbitraire dans la détermination des rapports, qui nuit tant à la fixité de la science.

Deuxième question : Quels sont les principes qui doivent nous guider dans ces opérations, afin d’exclure tout arbitraire à leur égard ?

Certes, ce serait rendre un grand service à la zoologie, que de donner une Solution convenable de cette question, c’est-à-dire, de déterminer de bons principes pour régler les différentes opérations citées ci-dessus, et en exclure tout arbitraire.

Il ne me convient pas de prononcer moi-même sur la valeur de mes efforts à cet égard ; mais j’en vais proposer les résultats avec la confiance qu’ils m’inspirent.

Je pense que ce ne peut être que dans la distinction précise de chaque sorte de rapports, et qu’à