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de Calvin et de Th. de Béze. Il a fait plus (Mornay) en son livre de la Messe, qu’aucun calviniste ni papiste ne pourrait faire, ni que Bellarmin lui-mêmeentre les papistes.[1] »
Casaubon de son côté dit que ce livre contient une doctrine pieuse et sainte.
L’ouvrage de Mornay constitue un riche arsenal où l’on peut puiser à pleines mains des armes contre le catholicisme romain. Il mérite à tous égards d’être lu et médité avec soin par quiconque veut s’occuper de controverse religieuse.
- ↑ Scaligerana, page 461.
