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QUATRAINS D’OMAR-KHEYAM
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Comme l'aube écartait le rideau de la nuit,
Quelqu’un de la taverne a crié : Le temps fuit ;
Remplis ta coupe avec la liqueur de la vie,
Et sois ivre, avant l’heure où la source est tarie.
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Épervier fou, laissant le séjour du mystère,
Mon âme avait voulu monter encor plus haut ;
Je n’ai point ici-bas trouvé ce qu’il lui faut.
Et rentre d’où je viens, mal content de la terre.