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le merveilleux voyage de nils holgersson

Il y eut quelques instants de lutte, mais la victoire resta au chien ; le renard gisait par terre, n’osant bouger :

— Tiens-toi bien tranquille, grogna le chien, sinon je mords. Il saisit le renard par la peau du cou, le traîna vers sa niche. Le gamin vint au devant d’eux avec la chaîne, la mit au cou du renard, la boucla bien. Le renard n’osa bouger.

— Maintenant j’espère, Smirre, que tu feras un bon chien de garde, dit Nils en guise d’adieu.