les garçons. — C’est « ÉNORME ! » des gens récitaient des chapelets[1].
Vendredi 25. — La princesse Victoria de Suède, celle que le Dr Evans voulait marier à Loulou[2] en leur léguant ses millions. — Là-bas est le couronnement — Et je n’y suis pas — Je serais le seul à y faire de la psycho. — Complainte du soir d’hyménée[3] (envoyé mon monologue des journées à Coquelin cadet !!). — Relu des Chansons des Rues et des bois — Vraiment un Être unique.
Samedi 26. — Complainte des aveugles — Été avec les 2 Schô, boire là-haut du kuhmilch. — Mes cheveux en brosse — l’œil rouge de l’Imp. Lettre de Bourget — demain le Couronnement ! Que va-t-il arriver ? Qu’est-ce qui est écrit ????[4]
Dimanche 27. — Autour de la chapelle grecque où errait un pope crasseux dans les belles fleurs
- ↑ Premières notes d’incidents utilisés par la suite pour « le Miracle des Roses » (Moralités légendaires). Corbeil était le premier valet de pied de l’Impératrice, un Français.
- ↑ Le Dr Evans, dentiste de l’impératrice Eugénie. Loulou, appellation familière par laquelle les Berlinois désignaient le prince impérial, fils de Napoléon III.
- ↑ Probablement celle « des Formalités nuptiales « (Cf. Poésies t. I).
- ↑ Toujours le couronnement du tzar, qui agitait probablement la cour impériale.