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ŒUVRES DE JULES LAFORGUE
février et mars 1901), puis rééditées dans Mélanges Posthumes (Mercure de France, 1903) sous le titre Lettres à sa sœur (p. 288 à 332).
11 lettres à Mme Mullezer (1882).
6 de ces lettres parurent sous le titre Lettres et Vers dans la Revue Blanche, t. IX, no 52 : p. 110 à 118, 1er août 1895, numérotées de I à VI suivies de deux poèmes La Complainte du petit hypertrophique et Spleen des nuits de juillet. Les lettres III, IV, V, VI figurent sous le titre Lettres à Mme *** dans Mélanges Posthumes (Mercure de France, p. 273 à 285) : mais les lettres I et II de la Revue Blanche n’y figurent pas. Ces deux lettres ont été reproduites dans Exil, Poésie, Spleen, p. 23 et 25, (La Connaissance, 1921) avec
5 lettres inédites (du 23 janvier, du 6 avril, de Coblentz, lundi, juin, du 18 juillet et du 19 août 1882), sous le titre Lettres à un poète. Les mêmes remarques s’appliquent à cette édition des lettres à Mme Mullezer aussi bien qu’à celles du même volume adressées à M. Charles Henry (Rentzon et Ainda, pour Bentzon et Ouida, p. 22 ; Hambourg pour Hombourg, p. 26. — « La vie m’a appris à être très peu fort, au lieu de très peu fat (p. 21) (Augustin au lieu d’Augustus (p. 30), etc.).
1 lettre à une dame (1883). — Inédite : copie communiquée par M. F. Fénéon.