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ŒUVRES DE JULES LAFORGUE

CXLIX

À TEODOR DE WYZEWA

Mardi [fin juillet 1887].

Je reviens de chez Robin, mon cher ami. Et je vous écris avec une demi-respiration, qui ne se trouve pas dans le Dante.

D’abord les grosses choses.

J’ai reçu 100 d’Aix-les-Bains, et ce matin 100 autres. J’ai payé un demi-terme. J’ai reçu 100 de Vienne et payé les fournisseurs alimentaires qui s’intéressent singulièrement à ma santé.

Reçu une lettre de Malherbe au nom de M. May, lequel ne veut le livre que sous certaines conditions grotesques.

La seconde partie lui paraît avoir été dite par de précédents ouvrages, — ce qui est une erreur (il s’agit des mœurs berlinoises). Je n’ai au contraire donné que du nouveau, ayant séjourné placidement