mon article du Figaro). Marcade[1], interpellé depuis des semaines, m’a répondu : « Attendez donc. Nous ne pouvons pas publier tous nos articles à sensation coup sur coup. »
Quant à mon livre sur Berlin, j’ai un éditeur. On me l’a trouvé. Je ne l’ai jamais vu. La chose est conclue, seulement mon manuscrit est encore assez loin d’être prêt à être remis.
J’attends chaque jour un lendemain tolérable où je puisse arriver chez vous assez calme et non pas capable uniquement de répondre à votre conversation par des quintes de toux inextinguibles, ce qui est triste et parfois même pas beau.
Inutile de dire que je n’ai été ni au Salon, ni à Millet, ni à l’Exposition Internationale. C’est un peu avant midi, n’est-ce pas et non plus à 11 h., qu’on a chance de vous trouver ?
Souhaitez-moi un jour un peu tiède et même une série indéfinie.
Au revoir.
Votre tant reconnaissant,
- ↑ Qui s’occupait du supplément littéraire du Figaro.