Page:Laforgue - Œuvres complètes, t5, 1925.djvu/117

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
111
LETTRES 1883-1887

rience, et d’intéressantes. Il meuble bien, comme verve, dans un cercle de camarades, en fumant.

Kahn me doit une lettre.

Je m’intéresse pour le moment à un volume de nouvelles.

Et toi ?

Rien ne me serait plus facile que de revenir un peu le 1er mai pour le Salon mais denaro.

Au revoir, en août seulement.

Je te serre la main.

Jules Laforgue.

Merci toujours pour tes corvées chez Vanier.