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Lune, consomme mon baptême,
Lave mes yeux de ton linceul ;
Qu’aux hommes, je sois ton filleul ;
Et pour nos compagnes, le seul
Qui les délivre d’elles-mêmes.

Lune, mise au ban du Progrès
Des populaces des Étoiles.
Volatilise-moi les moelles,
Que je t’arrive à pleines voiles,
Dolmen, Cyprès, Amen, au frais !