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classe. Mon malheur voulut que mes yeux rencontrassent les yeux de Bereng… Subitement, une nouvelle crise me tordit, si violente que je dus m’appuyer au mur, le front sur mon bras replié. Le professeur se leva et me découvrit le visage ; je n’étais plus capable d’arrêter mes éclats, les larmes coulaient de mes yeux, et mes mains se portèrent à ma gorge où il me semblait que l’air ne passait plus. Le maître m’attira contre lui et demanda de l’eau dont il baigna mes tempes. La classe était pleine d’étonnement, la cloche qui sonnait la sortie parut à peine l’émouvoir. Mes camarades s’éloignèrent enfin sur l’ordre du maître, et je fus autorisé à demeurer jusqu’à ce que j’eusse recouvré mon calme.