Page:Lafon - L’Élève Gilles, 1912.pdf/168

Cette page a été validée par deux contributeurs.

finir la fête en comparant les souvenirs que nous avions reçus, et je me sentais triste et comme banni d’une joie que d’autres avaient goûtée, demeuré en deçà d’un beau pays qu’ils venaient de connaître, et dont les images que je tenais semblaient des choses rapportées pour nous qui n’y avions pas été.