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A MONSEIGNEUR
LE DUC D’ORLÉANS,
PREMIER PRINCE DU SANG.MONSEIGNEUR,
L’OUVRAGE que vos bontés m’autorisent à vous présenter vous était déjà consacré par son objet. Destiné à conserver la mémoire des Hommes illustres, il ne pouvait paraître sous des auspices plus favorables que sous le