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sans consulter la Société de me lo renvoyer aves ; l’hi antè réponse que je ne pouvoit pas être admised comme le davois l’être ; Je remontai la Tribune l’uli quel et ai moment ou le Président alit faire pren fre a la Spenc- té une délibération qui l’auro’t déshonorée Je deman lai li parole, Je dis qu’avant de délibérer les amis, de la Lovete at de l’Egalité se devoient de m’entendre. C’est me seroit difficile de dicire Is efets que produisis ma jove demande : peiguez vous vous le paurez les femmes d. là Tribune ou jetois, se levant en majeur parte, en criant a bas Intrigante, a bas la nouvelle Cor let, và tans Malheureuse, on n. allons te mêtre en pieces ; au même instant, représaurez un grand nombre de soi —disant Membres quitant leur place pr venir autour de la tribune ou j’ero me renir te mâne langare que ces Femmes égarées ou perfil, voyez a majorité des Taibenes applaudir avec transport a se mouvement insensé, et vous frém pour ma vie, rassurez vour Amis de la Liberté le vois tenir t. : à cet horde que la passion seul cond it, songós quis vont combate une Femme libre, qui n’est que colomaise et non coupable, malgré le danger qui l’entoure conserve le sangfroi de linocence Arme-terrible qui và térasser ceux qui ont voulus la pendis, je répondia a ceux qui avec de cris de rage mindonnent de eller que Je ne sort rois pas, qu’il puti voient massassinór que toit une action digne de leur courige, mais qu’ils n’auroient. Ja- mais le pouvoir de me ranvoyer ; ici Je périrai, on Je serv due est-ce ainsi Lache, que vous vous montrer les Amis de la fiss tice en étoufant la Vérité, ici se fit un mouvement tant de la port des Femmes. que de ceux qui les instiguaient pour tomber sur mot alors prenant cette fierté, et ee courage digne d’ane Répu- bliquaine, Je leurs dit, le premier de yous qui ose avaneci Je