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LES LIAISONS
DANGEREUSES.

LETTRE Iere.

Cécile Volanges à Sophie Carnay, aux Ursulines de…


Tu vois, ma bonne amie, que je te tiens parole, & que les bonnets & les pompons ne prennent pas tout mon temps ; il m’en restera toujours pour toi. J’ai pourtant vu plus de parures dans cette seule journée que dans les quatre ans que nous avons passés ensemble, & je crois que la superbe Tanville[1] aura

  1. Pensionnaire du même couvent.