Cy gist an homme eœtr’ordinaire :
Quand tu sçauras ce qu’il put faire.
Passant, tu seras Men surpris ;
Il a fait coTnme Dieu le père,
Qui, sans avoir connu la mère,
Ne laissa pas d’avoir un fîlz.
les deux autres sur Souscarrière lui-même :
Cy gist qui duppa toid Paris
Il trompa jusques à sa mère.
Il se fit à trente ans le ftlz
, D’un qui ne fut jamais son père.
X
Cy gist un prodige du temps.
Sa naissance fut un mystère ;
Tous les pères font leurs enfans,
Cet enfant avoit fait son père.
KEc. SERCY, Il P., 1653. Sur une fille nommée M’"* J’adore un chef-d’œuvre parfait {ji. s.) Querelle.
A consulter : Historiettes de Tallemant des Réaux (éd. Paulin Paris).
Voir T. III, p. 546.
Il faut compléter la liste des poésies de François Tallemant insérées dans les recueils collectifs publiés de 1636 à 1661 par :
BKC.SKRCY, 1 p., Ire éd., 1653. Sonnet sur Christine de Quand des yeux de Tesprit ta Reine je contemple Suède, envoyé à Bourdelot. (n. s.)
Voir T. III, p. 549.
Les Ms. Tallemant, de La Rochelle, nous ont permis de lui restituer la pièce suivante :
Nouv. HKC. LOYSON, 1654. Au Rov. Mon Prince, revenez apaiser la tempeste (n. s.)