100 LA VIE CANADIENNE physionomie était toute transformée, et avec l’eapoir d’un travail assez rémunérateur il envisageait l’avenir avec plus de confiance. Et puis, beaucoup de sympathies parmi le nombreux personuel. Vraiment, c’était un rêve qu’il vivait tout à coup ! 11 ne pouvait croire à cette bonne chance qui lui arrivait aussi soudainement, alors qu’il était au bord, tout au bord de ces grands désespoirs qui détruisent les plus fermes courages ! Combien de forts sont tombés aux premiers coups d’un sort mauvais ! Mais Philippe Danjou avait résisté longtemps, parce qu’il avait été habitué à la misère dès le bas âg**. La misère !... Mais il n’avait, pour ainsi dire, connu que cela ! No MOUVEMENT M. l’abbé Joseph Raiche, d’Antigonish, nouvelle-Eeosse, est passé au bureau du Roman Canadien » remettre un manuscrit de contes et légendes canadiennes, qui seront publiés prochainement.
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M. Alphonse Bésilets, « Le Poète du Terroir » nous adressera sous peu un roman canadien inédit, dont nous offrirons la primeur à nos lecteurs ; nul doute que l’auteur de « Dans la brise du terroir », remportera autant de succès dans lo roman que dans la poésie. ♦ * * L’aveugle de St-Eustache, ce fameux roman de Jean Féron vient d’être réédité ; il est imprimé cette fois sur un papier de luxe, et avec un caractère beaucoup plus gros que dans la première édition. Il se vend toujours au même prix 25c. ♦ + * Monsieur N. M. Mathé d’Ottawa, nous écrit que ses yeux reprennent un peu de vigueur, lui permettant de terminer un nouveau roman qui se i publié prochainement dftiis « Le Roman Canadien ».
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Ce nouveau roman de M. Mathé coïncidera avec la réédition de son premier roman « Ma cousine Mandine ».
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M. Jean-Chnrles Harvey, de Québec, est à terminer un nouveau roman. Souhaitons que « Le Roman Canadien » ’ la primeur. En attendant, Les Editions Edou, d Garand de père et de mère inconnus, il n’avait jamai su ce que sont les joies de l’enfant aimé e gâté. Il avait été recueilli par des étranger qui u’avaient. eu pour lui qu’un peu de pitié puis il avait ’été abandonné comme une chos ; de rien. Un jour, un brave journalier avait dé couvert devant sa porte quelque eh se q< i res semblait k un paquet de linge. Il avait sou levé ce paquet et avait entendu le vagisse ment d’un nouveau né. Un châle de couleu ! sombre enveloppait le paquet. Le jourualiei écarta la châle et aperçut un enfant qui venait de naître. Connue il était pauvre et avait une grosse famille, il alla x>rter ati trouvaille au premier poste de police. LITTÉRAIRE • publieront sous peu un recueil de contes de l’auteur de Marcel Faure.
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L’Ecole littéraire do Montréal fait im primer avec l’aide du gouvernement provincial, une oeuvre collective de chacun de se» membres. Bon succès au nouveau livre. ♦ * * M. I’nul Pngé, littérateur bien conni d’Ottawa, travaille actuellement à un rom» qui est promis pour « Le Roman Canadien ».
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M. Daraase Potvin regarde actuellement les dernières épreuves de son roxoA « Le Français ». M. Potvin a également en manuscrit un roman inédit. Nous espérais que les efforts de M. Edouard Garand pour se procurer ce roman seront couronnés di succès.
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M. J. E. Larivière, vient de revoir soB Iris Bleu entièrement transformé. En effet, une deuxième édition do ce roman, vün île sortir des presses avec une toilette typb graphique merveilleuse. .* * * M. Damase Potvin vient de remeitre^ M. Edouard Garand un recueil de routes p nouvelles canadiennes. Ces nouvelles sfcrij publiées sous peu.
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Parmi les récents manuscrits., qui ûfl ont été soumis, nous avons remarqué « Uî L’intimité du vieux fort » remarqueécrits du conservateur du fort de Charai ; dont le patriotisme est bien connu, contes seront publiés prochainement.
