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Martin.
L’état-major n’est pas une excuse… Enfin nous voilà veufs !
Agénor.
Ca, c’est un petit malheur !
Martin.
Je dis : Nous… parce que vous êtes logé à la même enseigne que moi… et j’en suis bien aise… Ce que j’étais, vous l’êtes.
Agénor, timidement.
Je le suis même plus que vous… c’est plus frais.
Martin, souriant et à part.
C’est juste, c’est plus… Il a de l’esprit ! (Haut, sérieux.) Nous n’avons plus rien à nous dire… Adieu, monsieur !
Il remonte.
Agénor, se levant.
Inexorable ?
Martin.
L’honneur exige.
Agénor, gagnant la droite en le suivant.
Cependant, si un jour le ciel voulait que vous fussiez malade…
Martin, se retournant.
Eh bien ?
Agénor.
Me permettriez-vous de venir m’asseoir à votre chevet ?