Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 09.djvu/69

Cette page n’a pas encore été corrigée
Le Marquis.

D’abord, les mathématiques, ça regarde mon premier chancelier, je vais l’appeler. (Remontant.) Monsieur Dupaillon, voulez-vous venir un instant ?

Muserolle, à lui-même.

Au fait, deux avis valent mieux qu’un.

Dupaillon, entrant par le fond, une serviette au cou.

Qu’y a-t-il ?

Le Marquis.

Il s’agit d’une question très délicate… À ce que dit Monsieur… X, Y, Z roucoulent ensemble tous les trois…

Muserolle.

Non, permettez…

Le Marquis.

Doit-on le dire à Z ?

Dupaillon.

X, Y, Z… Ceci est de l’algèbre… il n’y a que le notaire qui puisse nous tirer d’embarras. C’est un savant.

Le Marquis.

Eh bien, appelez-le.

Dupaillon, remontant et appelant.

Monsieur le notaire, voulez-vous venir un instant ?

Muserolle, redescendant.

Au fait, trois avis valent mieux que deux.

Le Barrois, paraissant ; il a une serviette au cou -,Vous me demandez, commodore ?

Le Marquis.

Oui, mon ami ; c’est pour faire un peu d’algèbre.