Cette page n’a pas encore été corrigée
Pérugin.
Ca fait neuf cent cinquante !
Madame Pérugin.
Il a son million !
Pérugin.
Caroline, nous ne devons pas sacrifier notre fille !
Madame Pérugin.
J’allais te le dire…
Pérugin, à Maurice, en prenant sa fille à son bras.
Monsieur, je serai franc… ma fille a disposé de son cœur depuis longtemps…
Madame Pérugin.
Elle vient de m’en faire l’aveu à l’instant…
Pérugin.
Et, au moment suprême… une voix nous crie que nous ne devons pas sacrifier notre enfant… Lucie épousera le noble jeune homme auquel vous devez la vie !
Lucie et Berthe.
Oh ! quel bonheur !
M. et Madame Carbonel.
Ils le refusent !
Lucie, bas à Maurice.
Merci, monsieur Maurice…
Maurice, bas.
J’avais consulté votre album ! (Haut.) Maintenant, mon cher monsieur Carbonel, je suis libre… et mon cœur est d’accord avec mes paroles pour vous demander la main de mademoiselle Berthe.
Tous.
Comment !