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Lucie.
Papa vient de me gronder parce qu’en valsant avec M. Jules j’ai déchiré mon volant de dentelles.
Madame Pérugin.
Il a raison, tu ne fais attention à rien.
Maurice.
Le mal n’est pas bien grand…
Madame Pérugin, l’embrassant.
Tu n’es qu’une petite gaspilleuse.
Lucie.
Je ne le ferai plus, maman.
Maurice, à part.
Pauvre enfant ! est-elle gentille !
Lucie, changeant de ton.
Avec tout ça, j’ai perdu mon danseur !
Maurice, riant.
Oh ! charmant ! Mademoiselle, voulez-vous me permettre de le remplacer ?
Lucie.
Volontiers, monsieur ; mais vous prendrez bien garde de marcher sur ma robe…
Maurice, à madame Pérugin.
Et vous dites qu’elle n’a pas de soin !… Soyez tranquille, mademoiselle, je resterai en l’air le plus que je pourrai.
Il sort avec Lucie.