Tout.
Enfin ! je respire.
Maintenant, je suis calme.
Ah ! mais le voilà. Dis donc, toi !…. cet animal-là sait qu’on a perdu un diamant et il ratisse les allées !
Il arrosait, mon ami.
Marjavel. je l’ai vu ratisser de la chambre d’Ernest. Arrive ici, butor ! (Ernest s’approche de dos.) Je t’avais recommandé d’emporter cette caisse, ces pots et ces bancs. (Ernest prend une caisse vide et la met sur sa tête, de façon à se cacher jusque sur les épaules, Marjavel lui met sur les bras deux pots, à fleurs vides, et le surcharge d’une chaise qu’il pose sur la caisse.) Tu ne réponds rien, brute ?
Il le pousse et le fait sortir par la gauche. Ernest murmure.
Mais vous le chargez trop.
Lui ? allons donc ! il est fort comme un bœuf (Ernest s’en va en trébuchant.) Et il fait bon, boum, encore !….